Dans les PME, où les ressources sont limitées, le choix de ce professionnel de confiance est d’autant plus stratégique. Il faut savoir quand y recourir, comment formuler sa demande et, surtout, comment tirer le meilleur parti de cette collaboration. Il ne s’agit pas de déléguer à l’aveugle, mais de co-construire. Un bon accompagnement ne coûte jamais aussi cher que les conséquences d’une mauvaise décision prise seul.
Il arrive que ce soit le banquier qui soit le premier conseil. D’autres fois, ce sera l’expert-comptable, un avocat, un consultant, etc. Peu importe le titre, pourvu qu’il y ait le respect, la compétence et l’écoute. Un professionnel de confiance, c’est aussi quelqu’un qui sait dire non, qui ose exprimer un désaccord, qui protège l’entreprise parfois contre ses propres emballements.
Dans une petite entreprise artisanale des Deux-Sèvres, c’est un conseil en organisation qui a aidé le dirigeant à réécrire ses processus de production. Ce n’était pas une révolution, mais cela a permis de gagner du temps, d’alléger la pression sur les équipes, de retrouver une sérénité perdue.
Dans une PME industrielle près de Lyon, c’est un expert en RH qui a permis de sortir d’un conflit latent en rétablissant le dialogue avec les salariés.
À chaque fois, un apport ciblé et pertinent.